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Conseils à l’entourage

Réconforter quelqu’un qui vient de perdre un être cher n’est jamais simple, mais c’est peut-être encore plus délicat lorsqu’il s’agit d’une mort périnatale. À moins d’avoir vécu soi-même une expérience similaire, il n’est pas aisé de savoir quelle attitude adopter. Voici quelques idées clefs pour comprendre ce que les parents vivent.

 

Les parents ont véritablement perdu un enfant.

Des rêves et des espoirs se sont effondrés, les parents sont confrontés à la mort alors qu’ils pensaient donner la vie ; la future mère et le futur père perdent leur statut.

Les parents sont allés à la maternité, ils ont vécu la douleur, la mère a subi les contractions et la péridurale, ils ont souvent vu leur enfant. Même malformé, il demeure dans leur cœur le plus beau bébé du monde et si les parents savent qu’ils ont pris la meilleure décision, pour eux à ce moment donné, cette mort restera toujours inacceptable.

Ils ont d’abord besoin d’exprimer leur douleur, qu’on la respecte et qu’on ne la minimise pas.

 

Chaque deuil est unique.

La douleur de chaque personne est unique. Il n’y a pas de gradation du chagrin en fonction de la durée de la grossesse ou de la gravité de la pathologie car tout apparaît subjectif. Chaque personne avance donc à son rythme, il est inutile de la brusquer.

 

Il n y a pas de limite de temps.

L’anniversaire de la première semaine, du premier mois, de la première année et de toutes les années à suivre représentent des périodes difficiles. Envoyer une petite carte pour cette « naissance » particulière, dire aux parents lors des anniversaires que vous pensez à leur enfant, constituent des petits gestes qui touchent plus qu’il n’est possible de le dire.

 

Personne ne peut se mettre à la place des parents pour décider ou non d’interrompre une grossesse.

 

Le « bébé » attendu est un enfant et non un « problème ».

 

Parler de cet enfant lui permet d’exister.

Par cette écoute, l’entourage reconnaît aussi l’existence de cet enfant qu’il est bon de nommer. On ne parle pas d’une chose indifférente, on parle de Jeanne, Margot, Mathis…

Les parents n’ont pas vu les expressions de leur enfant et ils ne l’ont pas entendu rire.
Mais ils ont des souvenirs : les ruades dans le ventre de sa mère, sa vision à la naissance…

Ces souvenirs sont peu nombreux et après l’accouchement il reste un grand sentiment de vide. Parler de ce qu’ils ont vécu aide les parents à prendre conscience de leur histoire pour mieux l’intégrer à leur vie. Il ne faut pas oublier que pour les parents la parole est bien souvent la seule façon d’affirmer l’existence de leur enfant : il existe pour eux et pourtant, il n’a peut-être même pas d’existence administrative, et ils ne disposent peut-être pas de lieu où se recueillir.

 

Parler soulage.

Les parents peuvent avoir besoin de parler pendant longtemps. Ce n’est ni morbide, ni malsain : parler de l’enfant que l’on a perdu, l’évoquer fait du bien. Il faut accepter de les écouter, accepter de les voir pleurer et souffrir afin qu’ils puissent vivre complètement leur deuil. Des parents qui parlent de ce qu’ils ont vécu ne ressassent pas des idées noires, ils s’approprient à leur rythme leur histoire et leurs sentiments. Personne ne peut « oublier », à la demande, une partie de sa vie.

 

Inutile de dire :

(car ça ne console pas et ça fait mal)

  • « Ce n’est pas grave, ça arrive à beaucoup de femmes. »
  • « Vous êtes jeunes, vous en aurez d’autres. »
  • « Tu as tes autres enfants. »
  • « Ce n’est pas pire que de perdre un enfant plus agé. »
  • « Heureusement que ça t’arrive maintenant et pas plus tard. »
  • « Arrête d’y penser / d’en parler / de pleurer. »
  • « La nature/Dieu fait bien les choses. »
  • « Votre couple sortira plus fort de cette épreuve. »

 

Préférer des idées comme :

  • « Il va nous manquer aussi. »
  • « Pour nous ce sera toujours ta fille. »
  • « Si tu veux en parler, je suis là. Je comprends que tu pleures, ce que tu vis est douloureux. »

 

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